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Urgent : Macky Sall enterre la coalition Benno Bokk Yakaar

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Urgent : Macky Sall enterre la coalition Benno Bokk Yakaar

Dans un communiqué adressé à ses camarades, l’ancien président Macky Sall a salué l’engagement et les victoires de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) au cours des douze dernières années, tout en appelant à une réflexion sur l’avenir politique de l’alliance suite à la troisième alternance réalisée le 24 mars 2024.

Reconnaissant le besoin de réorganisation face aux défis actuels, il a exprimé sa gratitude envers les leaders et militants qui ont marqué cette « belle aventure » et a appelé à envisager de nouvelles voies pour s’adapter aux impératifs du moment. Voici l’intégralité du communiqué !

→ A LIRE AUSSI : BBY : Cérémonie de présentation du livre-bilan des 12 ans du Président Macky SALL à la tête de l’Etat du Sénégal

« Mes chers camarades,
Le 24 Mars 2024, le Sénégal a ouvert un nouveau chapitre politique en réalisant la 3ème Alternance de son histoire.

En consacrant ce changement, les Sénégalais ont porté au Pouvoir un nouveau régime. Or, BBY, notre coalition, vit depuis plus de 12 ans au service du pays. Jamais, alliance politique n’aura tenu autant au Sénégal !

→ A LIRE AUSSI : Nouvelles révélations explosives : Macky Sall a attribué 1400 m² d’une valeur d’un milliard FCFCA à Farba Ngom

Jamais, elle n’aura gagné autant de batailles politiques, remporté autant de victoires et ce, à toutes les élections, quelles que pussent être leur nature, leur importance et les circonstances dans lesquelles elles se tenaient.

Avec ce changement, s’ouvre maintenant devant nous une nouvelle page politique. J’entends çà et là cette requête pressante de certains de nos camarades qui nous demandent de nous réexaminer, de nous réorganiser pour mieux engager les défis du moment.

→ A LIRE AUSSI : Magal 2024 : Le message de Macky qui formule des « vœux de pardon »

En effet, beaucoup, se demandent s’il est encore pertinent de garder BBY dans sa formule actuelle et continuer comme si de rien n’était. Même si tous ne sont pas de cet avis, nous devons penser et accepter que nous devons aller au-delà de BBY et nous projeter maintenant dans le temps nouveau de l’action politique.

Il nous faudra donc, tirant les leçons du verdict des urnes, inventer un cadre plus approprié, adapté et ajusté à nos impératifs de l’heure.

Mes chers camarades,
Benno fut une belle aventure qui, au-delà de la politique, a tissé entre nous des liens fraternels et d’amitié très forts.

Incontestablement, elle sera inscrite au fronton des plus grandes œuvres politiques du Sénégal et nous devons en être fiers ! C’est pourquoi et en cela, je tiens à remercier du fond du cœur, tous ceux-là qui nous ont fait l’honneur et l’insigne privilège de ce compagnonnage historique.

Je tiens surtout à exprimer ma sincère gratitude aux leaders, chefs de parti, de coalition et de mouvement pour la confiance, jamais démentie, dont ils m’ont investie pendant ces longues années, avec une mention particulière aux femmes, à nos cadres, aux jeunes, à la vivante Diaspora du Sénégal, aux sages, à nos vaillants militants, aux organisations sociales, ainsi qu’à toutes les forces vives qui ont fait vivre et prospérer Benno.

Au Président Moustapha Niasse, je voudrais redire ma profonde reconnaissance pour avoir dirigé nos instances (Conférence des Leaders et SEPE) pendant que mes obligations m’ont mobilisé autrement et ailleurs.
À vous tous, comme à chacun d’entre vous, je redis mon amitié et ma fierté d’avoir été avec vous au service de notre pays et de son grand peuple.

Dakar, 02 Septembre 2024 »

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(Vidéo) Le juriste Demba Thioune dévoile les pièges juridiques laissés par Macky Sall dans la loi d’Amnistie

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(Vidéo) Le juriste Demba Thioune dévoile les pièges juridiques laissés par Macky Sall dans la loi d’Amnistie
(Vidéo) Le juriste Demba Thioune dévoile les pièges juridiques laissés par Macky Sall dans la loi d'Amnistie

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Guinée : 86% des forces politiques au Parlement refusent l’invitation du président : Umaro Sissoco Embaló, la fin !

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La Commission Permanente de l’Assemblée Nationale Populaire a tenu une réunion le 13 Mars 2025 pour examiner la situation politique du pays. Dans la déclaration rendue public, il a été souligné la surprise du parti après «la publication du Circulaire n° 3/2025 du soi-disant «Bureau du Président de la Cour Suprême de Justice», en vertu de laquelle l’investiture de nouveaux membres du Conseil Supérieur de la Magistrature Judiciaire (CSMJ) est annoncée pour le 13 Mars ».

L’Assemblée Nationale Populaire a indiqué que «le juge Conseilleur Lima André usurpe sans vergogne les fonctions de Président de la Cour Suprême de Justice ».

Selon toujours l’Assemblée Nationale Populaire, «l’acte d’investiture des supposés nouveaux membres viole gravement les dispositions de l’article 70, n. 1 de la Loi 1/99 du 27 Septembre, combinée à l’article n. 1 du Règlement Intérieur de la Magistrature Judiciaire, qui établit que le mandat des membres du CSMJ est de trois ans ».

Par ailleurs, ces opposants ont estimé que «Mme Satú Camará, dans une tentative aveugle d’usurper les fonctions de Président de l’Assemblée Nationale Populaire, a indiqué de nouveaux membres de cet organe souverain au CSMJ, et cette indication relève de la seule responsabilité du Conseil d’Administration de l’ANP, tel qu’établi lors de la 1ère Session de la 11ème  Législature, et qui avait déjà procédé à la nomination des députés Abdu Mané,  Armando Mango, Mário Fambé et Ussumane Camara ».

De l’avis de ces opposants de Emballo, «ces actes commis par la Député Satú Camará et le Vice-Président de la Cour Suprême de Justice Lima António André, visent à donner l’impression d’un respect des lois du pays et à fournir ainsi à la Cour Suprême de Justice et à la Commission Nationale Électorale les éléments nécessaires pour garantir des résultats électoraux qui conviennent au régime, trompant ainsi les attentes des citoyens d’un processus électoral juste et transparent ».

L’Assemblée Nationale Populaire a rappelé que «la Guinée-Bissau, en tant qu’État membre de la CEDEAO, a l’obligation, dans le cadre des engagements internationaux pris, de respecter l’État de droit et les décisions prises par les organes des organisations auxquelles elle appartient ».

En outre, elle a rappelé que «la Mission Conjointe CEDEAO/UNOWAS en Guinée-Bissau qui a eu lieu entre le 23 et le 28 Février, en vue d’obtenir un consensus national pour surmonter la crise politique et sociale provoquée par la non-convocation des élections présidentielles dans les délais légaux et qui a abouti à son expulsion du pays, comme on peut le lire dans la Note de cette Mission et dans les déclarations d’Umaro Sissoco Embaló ».

Les partis politiques en Guinée «qui représentent plus de 86% de l’expression de la volonté populaire au Parlement ont refusé l’invitation de l’ancien Président de la République à l’audience qu’il entendait promouvoir pour justifier la convocation illégale des élections, comme il a fini par le faire à travers le soi-disant Décret Présidentiel publié le 7 Mars 2025, inexistant aux yeux de la  Loi, car son auteur ne détient pas les pouvoirs pour accomplir les actes confiés par la Constitution au Président de la République ».

Les opposant ont rappelé que «sachant que le Cabinet Technique d’Appui au Processus Électoral (GTAPE) a commencé le processus de mise à jour des listes électorales en dehors du délai établi par la Loi, sans la supervision d’une Commission Nationale Électorale légale et légitime et des partis politiques, il est nécessaire de mettre un terme aux actes d’Umaro Sissoco Embaló, qui démontrent son manque total de respect et de considération pour l’ordre juridique établi en Guinée-Bissau, le même qu’il a ironiquement et dans une attitude d’incohérence totale allégué pour justifier l’expulsion de la Mission CEDEAO/UNOWAS du pays ».

LES RESOLUTIONS DE L’ASSEMBLEE NATIONALE POPULAIRE

Ainsi, la Commission Permanente de l’Assemblée Nationale Populaire a décidé «d’annoncer publiquement et solennellement que la Commission Permanente de l’Assemblée Nationale Populaire, dans le strict respect des dispositions constitutionnelles, a assumé la plénitude de ses pouvoirs, se constituant ainsi comme le seul interlocuteur légal et légitime auprès des entités nationales et des partenaires internationaux pour conduire le processus de retour à la normalité constitutionnelle en République de Guinée-Bissau ».

L’Assemblée Nationale Populaire a saisi « les aux organes statutaires de la CEDEAO et aux autres partenaires multilatéraux et bilatéraux, afin qu’ils transmettent aux autorités respectives des États membres, que le mandat de l’ancien Président de la République Umaro Sissoco Embaló a pris fin le 27 février 2025 ».

Cette structure de l’opposition a décidé de «mettre en place une plateforme inclusive de dialogue sociopolitique en vue de former un large consensus sur les grandes questions d’intérêt national, telles que la date de la tenue des élections, la composition de la Commission Électorale Nationale et la tenue des élections à la Cour Suprême de Justice ».

Elle a dénoncé «dénoncer et répudier publiquement les manœuvres du Vice-Président de la Cour Suprême de Justice, le conseiller Lima André, qui, en collusion avec la Député Satú Camará, a violé de manière flagrante les lois du pays en nommant, en accueillant et en promouvant la prestation de serment de nouveaux membres du CSMJ, dans le but d’intégrer dans la Commission Électorale Nationale et la Cour Suprême de Justice des éléments qui pourraient garantir à Umaro Sissoco Embaló le résultat électoral qu’il recherche ».

L’Assemblée a condamné «la décision de l’ancien Président de la République Umaro Sissoco Embaló d’expulser la Mission de Haut Niveau de la CEDEAO/UNOWAS envoyée à Bissau dans le cadre de la 66ème Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement, et exprimer notre solidarité avec tous ses membres et ses pays d’origine ».

Les opposants ont dénoncé «les déclarations publiques d’affront, d’impolitesse et de mépris institutionnel faites par Umaro Sissoco Embaló à l’encontre des autorités de la CEDEAO » et a «soutenu les efforts de la communauté internationale visant à faciliter le dialogue entre les institutions légitimes, les partis politiques, les acteurs civils et les autres parties prenantes en Guinée-Bissau, sous la conduite de la CEDEAO, qui est encouragée à accélérer la conclusion de la Mission entreprise dans le pays et à trouver une solution qui permettra, dans les meilleurs ».

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La Commission Permanente de l’Assemblée Nationale Populaire a tenu une réunion le 13 Mars 2025 pour examiner la situation politique du pays. Dans la déclaration rendue public, il a été souligné la surprise du parti après «la publication du Circulaire n° 3/2025 du soi-disant «Bureau du Président de la Cour Suprême de Justice», en vertu de laquelle l’investiture de nouveaux membres du Conseil Supérieur de la Magistrature Judiciaire (CSMJ) est annoncée pour le 13 Mars ».

L’Assemblée Nationale Populaire a indiqué que «le juge Conseilleur Lima André usurpe sans vergogne les fonctions de Président de la Cour Suprême de Justice ».

Selon toujours l’Assemblée Nationale Populaire, «l’acte d’investiture des supposés nouveaux membres viole gravement les dispositions de l’article 70, n. 1 de la Loi 1/99 du 27 Septembre, combinée à l’article n. 1 du Règlement Intérieur de la Magistrature Judiciaire, qui établit que le mandat des membres du CSMJ est de trois ans ».

Par ailleurs, ces opposants ont estimé que «Mme Satú Camará, dans une tentative aveugle d’usurper les fonctions de Président de l’Assemblée Nationale Populaire, a indiqué de nouveaux membres de cet organe souverain au CSMJ, et cette indication relève de la seule responsabilité du Conseil d’Administration de l’ANP, tel qu’établi lors de la 1ère Session de la 11ème  Législature, et qui avait déjà procédé à la nomination des députés Abdu Mané,  Armando Mango, Mário Fambé et Ussumane Camara ».

De l’avis de ces opposants de Emballo, «ces actes commis par la Député Satú Camará et le Vice-Président de la Cour Suprême de Justice Lima António André, visent à donner l’impression d’un respect des lois du pays et à fournir ainsi à la Cour Suprême de Justice et à la Commission Nationale Électorale les éléments nécessaires pour garantir des résultats électoraux qui conviennent au régime, trompant ainsi les attentes des citoyens d’un processus électoral juste et transparent ».

L’Assemblée Nationale Populaire a rappelé que «la Guinée-Bissau, en tant qu’État membre de la CEDEAO, a l’obligation, dans le cadre des engagements internationaux pris, de respecter l’État de droit et les décisions prises par les organes des organisations auxquelles elle appartient ».

En outre, elle a rappelé que «la Mission Conjointe CEDEAO/UNOWAS en Guinée-Bissau qui a eu lieu entre le 23 et le 28 Février, en vue d’obtenir un consensus national pour surmonter la crise politique et sociale provoquée par la non-convocation des élections présidentielles dans les délais légaux et qui a abouti à son expulsion du pays, comme on peut le lire dans la Note de cette Mission et dans les déclarations d’Umaro Sissoco Embaló ».

Les partis politiques en Guinée «qui représentent plus de 86% de l’expression de la volonté populaire au Parlement ont refusé l’invitation de l’ancien Président de la République à l’audience qu’il entendait promouvoir pour justifier la convocation illégale des élections, comme il a fini par le faire à travers le soi-disant Décret Présidentiel publié le 7 Mars 2025, inexistant aux yeux de la  Loi, car son auteur ne détient pas les pouvoirs pour accomplir les actes confiés par la Constitution au Président de la République ».

Les opposant ont rappelé que «sachant que le Cabinet Technique d’Appui au Processus Électoral (GTAPE) a commencé le processus de mise à jour des listes électorales en dehors du délai établi par la Loi, sans la supervision d’une Commission Nationale Électorale légale et légitime et des partis politiques, il est nécessaire de mettre un terme aux actes d’Umaro Sissoco Embaló, qui démontrent son manque total de respect et de considération pour l’ordre juridique établi en Guinée-Bissau, le même qu’il a ironiquement et dans une attitude d’incohérence totale allégué pour justifier l’expulsion de la Mission CEDEAO/UNOWAS du pays ».

LES RESOLUTIONS DE L’ASSEMBLEE NATIONALE POPULAIRE

Ainsi, la Commission Permanente de l’Assemblée Nationale Populaire a décidé «d’annoncer publiquement et solennellement que la Commission Permanente de l’Assemblée Nationale Populaire, dans le strict respect des dispositions constitutionnelles, a assumé la plénitude de ses pouvoirs, se constituant ainsi comme le seul interlocuteur légal et légitime auprès des entités nationales et des partenaires internationaux pour conduire le processus de retour à la normalité constitutionnelle en République de Guinée-Bissau ».

L’Assemblée Nationale Populaire a saisi « les aux organes statutaires de la CEDEAO et aux autres partenaires multilatéraux et bilatéraux, afin qu’ils transmettent aux autorités respectives des États membres, que le mandat de l’ancien Président de la République Umaro Sissoco Embaló a pris fin le 27 février 2025 ».

Cette structure de l’opposition a décidé de «mettre en place une plateforme inclusive de dialogue sociopolitique en vue de former un large consensus sur les grandes questions d’intérêt national, telles que la date de la tenue des élections, la composition de la Commission Électorale Nationale et la tenue des élections à la Cour Suprême de Justice ».

Elle a dénoncé «dénoncer et répudier publiquement les manœuvres du Vice-Président de la Cour Suprême de Justice, le conseiller Lima André, qui, en collusion avec la Député Satú Camará, a violé de manière flagrante les lois du pays en nommant, en accueillant et en promouvant la prestation de serment de nouveaux membres du CSMJ, dans le but d’intégrer dans la Commission Électorale Nationale et la Cour Suprême de Justice des éléments qui pourraient garantir à Umaro Sissoco Embaló le résultat électoral qu’il recherche ».

L’Assemblée a condamné «la décision de l’ancien Président de la République Umaro Sissoco Embaló d’expulser la Mission de Haut Niveau de la CEDEAO/UNOWAS envoyée à Bissau dans le cadre de la 66ème Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement, et exprimer notre solidarité avec tous ses membres et ses pays d’origine ».

Les opposants ont dénoncé «les déclarations publiques d’affront, d’impolitesse et de mépris institutionnel faites par Umaro Sissoco Embaló à l’encontre des autorités de la CEDEAO » et a «soutenu les efforts de la communauté internationale visant à faciliter le dialogue entre les institutions légitimes, les partis politiques, les acteurs civils et les autres parties prenantes en Guinée-Bissau, sous la conduite de la CEDEAO, qui est encouragée à accélérer la conclusion de la Mission entreprise dans le pays et à trouver une solution qui permettra, dans les meilleurs ».

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