De son vivant, Doudou Ndiaye Coumba Rose avait déclaré toutes ses œuvres. Seulement aujourd’hui, sa famille n’arrive toujours pas à mettre la main sur ses redevances et droits d’auteur. Cette irrégularité est à chercher du côté de ses enfants. Ces derniers n’ont jusqu’ici pas pu trouver un consensus pour désigner son ayant-droit.
Feu Doudou Ndiaye Coumba Rose avait beaucoup d’enfants et de femmes. La Sodav est confrontée à ce dilemme, à savoir à qui verser les redevances. Cette situation a plus été accentuée par le fait qu’il n’y avait pas d’entente entre eux, juste après la disparition du percussionniste.
Le souhait de création d’une école de percussion
Doudou Ndiaye Rose avait trouvé nécessaire de procéder à la création d’une école de percussion. Pendant plus de deux décennies, il a été dans l’attente d’un agrément de l’État pour ouvrir un institut de formation. “Doudou Ndiaye Coumba Rose avait comme ambition la création d’une école de percussion.
Malheureusement, il n’a pas réalisé cela de son vivant. Si l’État nous octroie une parcelle à cet effet, la famille de Doudou Ndiaye Rose est prête pour l’érection de cette école de percussion.